EAU et CRISE CLIMATIQUE – Comprendre ­ Agir

Samedi 1° octobre 2022
Bourse du Travail Toulouse ­ Place Saint Sernin (M° Jeanne d’Arc)

10H ­- 10H 30 Accueil (café, expo)

10H30 ­ 12H30 Comprendre le fonctionnement et les perturbations du cycle de l’eau
intervention de Marlène VISSAC (technicienne en hydrologie spécialisée en gestion de l’eau en milieu agricole)

12H30 – 14H Pause (collation possible sur place)
14h – 16h Table ronde « Eau et agriculture, des modèles à repenser ? »
­ Jean­François PERIGNE (mytiliculteur sur l’île d’Oléron à la pointe du bassin Adour-Garonne, responsable national de la commission Eau de la Confédération Paysanne)
­ Bernard PERE (paysan bio à la retraite Président de Terre de liens Nouvelle Aquitaine)
­ Pierre BESSE (ingénieur agronome maraîcher)
­ Sabine MARTIN (paysagiste, membre sortant du Comité de bassin Adour­-Garonne pour France Nature Environnement)
­ Marlène VISSAC (technicienne en hydrologie spécialisée en gestion de l’eau en milieu agricole)

16h – 16h 30 Pause

16h 30 – 18h 30 Conflits d’usage et luttes autour de l’eau en Occitanie
Lac de Caussade, lac de Montbel, Sivens, Alet­les­Bains, … avec la participation des
représentant.e.s des associations locales

Vous pouvez diffuser l’information avec ce tract.

Fin Août en France métropolitaine 117 communes sont privées d’eau potable, et 93 départements sur 96 sont désormais en alerte sécheresse, au­ delà de la vigilance et sont concernés par des restrictions d’eau.
Le dernier rapport du GIEC a mis en évidence que le manque d’eau et les inondations constituaient avec les vagues de chaleur et la perte des rendements agricoles, les 4 principaux risques de l’évolution du climat dans les années à venir pour ce qui concerne l’Europe.
Comprendre les causes et les conséquences du dérèglement des cycles de l’eau devient une obligation. Et comme le dit l’hydrologue Emma Haziza :
« Ce n’est pas le réchauffement climatique qui crée la sécheresse ce sont nos modes de fonctionnement. Le réchauffement global ne vient que s’ajouter à cela».
Il est donc urgent de réinterroger les modes de fonctionnement et de production qui favorisent ce dérèglement.
Dans notre région comme ailleurs, différentes stratégies sont promues et développées en réponse au manque d’eau, au risque parfois d’une privatisation au profit de quelques ­uns, ou par la mise en œuvre de techniques
qui ne font qu’empirer le mal. Quelles sont les réponses, celles à soutenir, celles à combattre ?
Parce que toutes ces questions sont d’une actualité brûlante et que nous pensons que la préservation de «l’eau, bien commun» nécessite la mobilisation citoyenne. Nous vous invitons à une journée d’informations débats

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